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28/04/2016

Une sympatique marche gourmande

Réservez votre dimanche 22 mai pour participer à la marche gourmande organisée par le comité des fêtes de Laviron. 12 kms en pleine nature et sans difficultés particulières. 300 marcheurs sont attendus. Voir l'affichette ci jointe.

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17/04/2016

Merveilleux séjour à Barcelone

Mercè et Nuria Trabado avec leurs conjoints étaient venues depuis Barcelone le 15 février 2015 au cours d'un voyage mémoire sur les traces de leur grand-père Saturnino résistant fusillé le 26 septembre 1943.

Mercè, Quim et leurs filles Aïna et Maria sont venus fin juillet et début août pour passer des vacances et découvrir la région.

Mercè, Nùria avec leurs grands enfants Oriol, Alba et Nùria sont revenus le 8 septembre pour répondre à l'invitation de Jean-Louis Fousseret lors de la cérémonie du 71e anniversaire de la libération de Besançon.

Vous pouvez retrouver les notes précédentes des 08/02, 19/02, 09/09 et 26/09 relatant les visites.

Alors le 18 mars 2016 nous sommes allé leur rendre visite chez eux à Barcelone. Mercè avait pris une semaine de congé pour être avec nous et nous guider dans cette merveilleuse ville. Que de kilomètres effectués à pied pour découvrir toutes les beautés de cette ville de Catalogne, une ville ancienne mais très moderne. Nous avons eu l'honneur de rencontrer leur maman (belle-fille de Saturnino) une dynamique et charmante dame de 74 ans. Au cours d'une journée nous avons pu découvrir le petit village de montagne Rupit à 100 kms de Barcelone où Mercè et Quim ont une petite maison de campagne. D'autres points forts de visités : les marchés, les centres commerciaux immenses, la citadelle de Montjuïc, la cathédrale, la Sagadra Familia, l'hospital Sant Pau, le port et les petits restos bien sympas ...

Quelle émotion !

Mercè en avait gardé le secret. Grâce à ses recherches notamment aux archives de la ville elle a pu retrouver le bâtiment au 88 Ronda de Sant Antoni où ma mère est née le 29 février 1911 et a vécu jusqu'à son exil en 1939. Au cours d'une ballade dans la ville avec toute la famille Trabado, Mercè, avec pudeur et tact, m'a fait passé en premier et le groupe s'est arrêté à un endroit et j'ai entendu : Jean-Jacques c'est là que Eléonor ta maman est née. J'en ai pleuré d'émotion.

Des liens forts très forts entre nous. Nous avons les mêmes souvenirs parmi les résistants fusillés le 26 septembre 1943 mais aussi la souche espagnole que j'ai en moi. Ma mère avait bien connu Saturnino lorsqu'il œuvrait dans la résistance à Cessey. Une chose que Mercé ne sait pas encore (elle l'apprendra en lisant cette note) : Saturnino avait connu mon frère né en 1942 alors qu'il était bébé et juste avant son arrestation ma mère lui avait confié qu'elle attendait un enfant (moi même) et il lui avait répondu : aurais je l'honneur de le connaitre ! La tenue de ce propos pouvait laisser croire que Saturnino s'attendait à être arrété dans le cadre de ses activités de résistance. Ma mère était très, trop discrète et ne parlait de rien mais je me rappelle bien des propos  rapportés lors de son décès en 1997 par une famille espagnole dont elle était très proche. Je ne savais rien de sa filiation au delà de sa mère qui a vécu à Cessey. Dans le cadre des recherches faites par Mercè aux archives municipales de la ville elle a pu découvrir qui était notamment mon grand-père Francisco.

Merci un grand merci Mercè tu m'as fait découvrir beaucoup de choses ! Merci aussi à Nùria et Tony d'avoir pris de votre temps pour être à nos cotés.

Mercè et Nùria vous reviendrez à Besançon pour Saturnino.

Photos Jean-Jacques Compagnon, Mercè et Nuria Trabado

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Devant le 88 Ronda de Sant Antoni

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Photo du bâtiment datant du début du XXe siècle bâtiment à droite

 

 

 

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 Photo du bâtiment actuel

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L'Arc de Triomphe

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Hospital San Pau

 

 

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Le pont suspendu à Rupit

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L'entrée de chez Mercè et Quim

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Encore un qui fait le clown

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La citadelle de Montjuïc

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La célèbre Torre Agbar en verre et métal

 

 

15/02/2016

Les accidents dramatiques et les origines

Chacun le sait, chaque accident trouve une origine humaine, matérielle, météorologique ou autre. 95 % de ces origines ne devraient pas exister.

Mercredi 10 février vers 7 h 45 à Montflovin (25) , un chauffeur de car de transport scolaire n'a pas su adapter la vitesse de son véhicule sur une route particulièrement glissante en raison des chutes de neige. 2 collégiens (12 et 15 ans) ont perdu la vie.

Quelques jours après vers La Rochelle (Charente Maritime) un car transportant des lycéens croise la route d'un camion de TP. La ridelle métallique qui était ouverte découpe le car et prive de la vie à 6 lycéens de 15 à 18 ans.

Dans les deux cas il y a un manquement grave à la sécurité de la part des chauffeurs. Dans le premier cas le conducteur aurait du adapter la conduite de son car en fonction de l'état de la route, quitte à arriver en retard au collège. Dans le deuxième cas il y a un manquement grave sur l'état du camion. Une ridelle ne peut pas s'ouvrir comme ça toute seule, le mécanisme de sécurité devait être pourri ou à moins que pour un court trajet entre chantier cette ridelle est restée ouverte volontairement.

Des familles endeuillées, des jeunes passagers profondément choqués.  Non plus jamais ça !

Professionnel du secours pendant 32 ans (en retraite depuis 1998) j'ai participé il y a 22 ans aux secours lors d'un accident de car transportant des touristes. Ce car quittait le parking d'un parc préhistorique et la barrière horizontale à 1,50 m du sol (un long tube métallique de 8 mètres) qui restait ouverte pendant la journée, s'est rabattue et a pénétré dans le car par le parebrise en s'enfonçant sur toute sa longueur dans le car. Il y a eu de nombreux blessés qui souffraient notamment de fractures aux membres inférieurs. Là encore pourquoi cette barrière s'est brusquement rabattu, peut être par un coup de vent ! Aurait elle du être verrouillée en position ouverte !

Les constatations prouvent que la plupart des passagers notamment les collégiens ou lycéens ne bouclent pas la ceinture de sécurité. Dans le 1er cas les deux jeunes qui ont été éjectés et coincés sous le car n'avaient apparemment pas bouclé la ceinture. Quand au 2e cas même si les lycéens assis dans la même rangée gauche avaient bouclés la ceinture ils ont été fauchés par cette ridelle qui a agi comme un couperet.

Ensemble pensons aux familles et aux proches.

02/02/2016

Chez les médaillés militaires

La médaille militaire, en seconde position après la légion d'honneur, est la plus prestigieuse récompense militaire. Elle est attribuée à des femmes et hommes militaires non officiers (armée de terre, marine, aviation et gendarmerie) suivant leurs faits d'arme que ce soit pendant leur engagement actuel ou l'engagement passé.

Les médaillés militaires sont réunis en association d'entraide sur le plan local, départemental et national.

Récemment la 144e section de Besançon s'est réuni pour tenir son assemblée générale annuelle dans le lieu hautement symbolique qu'est le mess de garnison de l'état major de gendarmerie. Ce fut l'occasion pour le président départemental et local de remettre un diplôme pour célébrer une remise de médaille militaire il y a 50 ans à Maurice ancien combattant. 4 médailles associatives ont été remises à des adhérents et des dames d'entraide, Michel, Michèle, Marinette et Chantal pour leur participation active dans l'association.

Immense honneur à François Lemaire qui s'est vu remettre par le colonel Drovin la médaille militaire pour faits d'armes en Afrique du Nord il y a 58 ans. La citation est élogieuse :

Soldat de 2e classe du 27e régiment de tirailleurs algériens : Tirailleur toujours volontaire pour les missions difficiles, voltigeur de pointe courageux participe à toutes les opérations depuis le 1er mars 1958. S'est notamment distingué le 1er juin 1958 dans la région de TIZI ALA et le 5 juin dans le KEF BOU ANOUANE. Dans un terrain difficile et broussailleux il a délogé des éléments rebelles et couvert du feu de son arme le repli d'un de ses camarades grièvement blessé.

Cette citation comporte l'attribution de la croix de la valeur militaire avec étoile de bronze.  BATNA août 1958.

Parmi les invités il y avait notamment un porte drapeau qui tient allégrement ses 102 ans et qui se verra remettre samedi prochain la croix du mérite. Il y avait aussi Coralie une jeune femme veuve, son époux adjudant dans l'armée française est tombé en AFGANISTAN. Sa présence prouve l'attachement qu'elle a envers l'association d'entraide des médaillés militaires.

Photos Jean-Jacques Compagnon

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La levée des couleurs

 

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François Lemaire, au centre, reçoit la médaille militaire 58 ans après ses faits d'arme

25/01/2016

Coupe du monde de combiné nordique

Une manche de la coupe du monde du combiné nordique (saut en tremplin et ski de fond) vient d'avoir lieu à Chaux Neuve.

Chaux Neuve  petit village du Haut Doubs (76 kms de Domprel) à proximité du département du Jura et de la Suisse est bien connu pour les tremplins de saut et des nombreuses compétitions qui s'y déroulent même au niveau international.

Hier devant plus de 6.000 spectateurs 50 athlètes venant de 15 pays différents se sont affrontés.

Si l'accueil du public sur le stade de neige a été parfait il n'en est pas de même pour l'accueil à l'approche du village. Pas de parking aménagé, pas de navette de minibus, il fallait se fier à son flair pour aller au bon endroit dans les rues totalement encombrées par des stationnements sauvages et des amoncellements de neige. Les forces de l'ordre peu nombreuses malgré la présence, dans le village voisin de Mouthe, d'un peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) ont été quelque peu dépassées par le déferlement des spectateurs à la fin de cette compétition.

Mais, mais une très belle journée qui m'a permis de découvrir ce qu'était une compétition internationale et aussi et surtout de découvrir le saut à skis au travers du combiné nordique.

Photos Jean-Jacques Compagnon

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Départ de la course ski de fond (10 kms)

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Le grand tremplin

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Réception d'un sauteur (écran géant)

 

11/11/2015

Commémoration de la fin de la Grande Guerre

Dans tous les villages ayant un monument aux morts la population se rassemble le 11 novembre pour se souvenir de cette terrible guerre qui a pris fin le 11 novembre 1918 et pour rendre hommage aux 15.000.000 de morts.

Dans l'hexagone il n'y a que 30 villages qui n'a pas eu à déplorer de morts. Aujourd'hui les cérémonies se font par secteur notamment dans les zones rurales. C'est ainsi que les municipalités de Domprel et Grandfontaine-sur-Creuse dont le monument aux morts est commun pour les deux villages ont reçu les anciens combattants, les portes drapeaux, les élus des villages voisins, les représentants de la gendarmerie et de l'armée et les populations pour une cérémonie sobre. Les discours du maire de Domprel et du président des Anciens Combattants du secteur ont été le reflet du devoir de mémoire. L'appel des morts, les dépôts de gerbes, la minute de silence ont été le symbole  de cette journée de ce devoir de mémoire.

Moment très émouvant quand un groupe d'enfants des écoles ont entonné une vibrante marseillaise.

Photos Jean-Jacques Compagnon

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Les enfants entonnent la Marseillaise

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Le président des anciens combattants

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Les autorités

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Le maire de Domprel

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vue d'ensemble

19/10/2015

Un dimanche à la chasse. Hommage à Louis Pergaud.

Initiée par la fédération départementale de la chasse la journée "Un dimanche à la chasse" dont le slogan est "Chassez les idées reçues" a eu lieu ce dimanche 18 Octobre à Landresse, village où Louis Pergaud, le célèbre auteur de La Guerre des Boutons, fut instituteur de 1905 à 1907. Louis Pergaud était un fin chasseur.

Dans le cadre des animations en cours d'année pour célébrer le 100e anniversaire de sa disparition en 1915 lors la première guerre mondiale la fédération départementale a proposé la reconstitution d'une partie de chasse aux lièvres avec tenues et fusils d'époque. Grâce à la participation des responsables fédéraux, de la société locale de chasse, du gérant de la Ferme de Simolière éleveur de chiens "Porcelaine", de la municipalité, de la population cette reconstitution a connu un grand succès.

Avant le départ les invités ont pu découvrir des armes anciennes et aussi entendre les propos de bienvenue du maire, des responsables fédéraux, du responsable local et aussi entendre un admirable texte rendant hommage à Louis Pergaud chasseur. Les invités ont reçus les brochures démontrant que la chasse actuelle ne doit pas être vue de travers par les non chasseurs.

Les 40 invités qui se sont rendus sur le lieu de chasse en calèche ou à pied ont pu comprendre et voir ce qu'est une vènerie à pied. 8 chiens ont été lâchés et ont senti, cherché au travers des prairies le gîte nocturne du lièvre pour aller le retrouver dans le gîte diurne en lisière de forêt. Après 3 heures de recherche un lièvre a été levé. Mais il a eu la vie sauve grâce à l'interdiction de tirer (en raison d'un grand nombre d'invités). Les 2 chasseurs, accompagnant les chiens guidés par leur maitre, en tenue d'époque portaient en bandoulière des fusils non armés de la même époque du début du XX e siècle. L'un d'entre eux avait l'honneur de porter le fusil acheté par Louis Pergaud en 1910, lequel fusil était le premier fusil moderne de l'époque.

Au retour et après le verre de l'amitié les organisateurs, les chasseurs et les invités se sont retrouvés autour d'un buffet typiquement bien de chez nous qui a permis un échange fructueux entre chasseurs et non chasseurs et pour certains de "chasser les idées reçues".

Photos Jean-Jacques Compagnon

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Les invités attentifs au propos du maitre des chiens

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Deux chasseurs en tenue d'époque présentent 3 chiens "Porcelaine"

Celui de droite a l'honneur de porter le fusil de Louis Pergaud

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Une invitée a l'honneur de tirer (à blanc) avec le fusil de Louis Pergaud

 

Photo d'époque. Capture sur panneau

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Louis Pergaud à la chasse

Un comice agricole qui a tenu ses promesses

Vellerot-les-Vercel un petit village de 60 habitants des Monts-de-Villers et très proche du pays de la Guerre des Boutons le célèbre roman de Louis Pergaud qui fut instituteur à Landresse, le village voisin, en 1905/1907.

Après avoir obtenu récemment une première fleur au concours régional des villages fleuris, Vellerot-les-Vercel peut afficher sa satisfaction pour la réussite du comice agricole du 17 octobre.  C'est tout un village qui s'est mobilisé pour la préparation de ce comice, que se soit pour la préparation du site, la décoration du village, la réception des vaches montbéliardes, des éleveurs, des visiteurs et aussi l'intendance. 

Les 1.500 visiteurs ont pu admirer 390 vaches montbéliardes présentées par 47  éleveurs du canton de Pierrefontaine-les-Varans et aussi voir le travail des juges experts en charge des notations suivant les différentes catégories. Le clou de ce comice c'est l'admiration devant les différents lots d'ensemble, groupe de 5 à 10 vaches parfaitement alignées et parées comme des starlettes se présentant à un concours de beauté ou une élection de miss. Sans oublier les différentes animations pour toutes et tous.

De très nombreux prix ont été attribués dans les différentes catégories.

Dans la matinée les organisateurs ont été très surpris de voir arriver un grand bus qui semblait un peu paumé au milieu de ce comice. En effet un groupe de 80 éleveurs autrichiens en voyage d'agrément dans la région et ayant eu vent de la tenue de ce comice ont fait le détour pour voir un comice bien de chez nous. Evidemment ils ont été accueillis à bras ouvert par les organisateurs qui les ont guidés et donné les explications sur la tenue d'un comice, l'élevage de vaches montbéliardes, la sélection, la transformation du lait en produit AOC dont le fameux Comté qu'ils auront pu déguster. Après le repas pris en commun les éleveurs autrichiens sont repartis sur leur périple touristique en gardant une remarquable impression du contact avec leurs collègues éleveurs du canton et aussi avec les visiteurs. Cette rencontre imprévue restera dans la mémoire de tous.

 

Photos Jean-Jacques Compagnon

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Journée inoubliable pour les éleveurs venant d'Autriche  

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Un magnifique lot d'ensemble

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La relève de demain

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Morgane lauréate du concours des jeunes meneurs

26/09/2015

72 e anniversaire des 16 fusillés de la Citadelle

 

Samedi 26 septembre 2015

Aujourd'hui cela fait 72 ans que 16 résistants sont tombés sous les balles du peloton d'exécution à la citadelle de Besançon (voir les notes précédentes).

Dans les années passées un grand cérémonie de souvenir avait lieu le dernier dimanche de septembre au rocher de Valmy. Maintenant il y a juste un dépôt de gerbe en comité restreint en ce jour anniversaire. En effet l'accès à cette stèle est trop difficile pour les personnes âgées. Le dimanche une cérémonie aura lieu au monument aux morts du village de Larnod en présence des autorités, des membres de famille des héros qui ont perdu la vie en défendant notre territoire et des représentants des associations patriotiques.

En ce samedi 26 septembre 2015 l'émotion était palpable notamment au moment de l'appel aux morts des 20 noms des résistants des groupes Marius Vallet et Guy Mocquet qui sont gravés sur la plaque (16 ont été fusillés le 26 septembre 1943 et 4 ont été déportés et n'en sont jamais revenus).

Photo Jean-Jacques Compagnon

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72 ans après en souvenir de nos héros

Dimanche 27 septembre 2015

Après un office religieux sous chapiteau au centre du village toute le monde était réuni autour du monument aux morts pour rendre hommage aux 16 fusillés du 26 septembre 1943. 4 appartenaient au groupe Marius Vallet et 12 au groupe Guy Mocquet.

Le maire de Larnod a reçu le maire de Avanne (village voisin) les autorités préfectorales, régionales, départementales, les élus locaux, les associations patriotiques, 52 portes drapeaux, les familles de résistants, les habitants du secteur. La famille de Saturnino Trabado du groupe Marius Vallet fusillé ce 26 septembre 1943, qui n'a pas pu faire le déplacement depuis Barcelone, était représentée par le neveu de Jean Compagnon fusillé lui aussi. D'autres maires de villages voisins qui ont été aussi la plaque tournante d'activités de résistance étaient présents.

Un grand moment d'émotion quand les orateurs (le sous-préfet, le maire du village et le président de l'association en souvenir du groupe Guy Mocquet) ont salué le courage de ceux qui ont payé de leur vie pour la défense de notre intégrité.

Claire Martin a brillamment interprété le Champ des Partisans.

Photos Jean-Jacques Compagnon

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Reconnaissance envers nos martyrs

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Le Chant des Partisans

21/09/2015

Une marche gourmande bien sympathique

 

Une première bien réussie !

Première marche gourmande mise sur pied par Villers-Chief Association et le comité des fêtes de Eysson le dimanche 20 septembre.

Les conditions météo très mauvaises de la veille et de la nuit laissaient présager le pire. Mais Dame météo a montré ses beaux moments à partir du dimanche matin.

250 marcheurs se sont élancés par petits groupes sur un périple de 15 kms au travers des prairies et des forêts au départ de Villers-Chief sur Eysson et retour.

Premier arrêt à la cabane des chasseurs de Villers-Chief pour l'apéro et les amuses bouches dans le chapiteau de la fruitière de Brémondans. Passage sur la commune de Domprel. Deuxième arrêt dans la forêt de Grandfontaine-sur-Creuse pour les entrées (sous chapiteau). Troisième arrêt à la salle des fêtes de Eysson pour la viande et le fromage. Quatrième arrêt à la sortie du Moulin de Creuse à Villers-Chief pour un rafraichissement bien mérité mais aussi pour tester des produits laitiers dont il fallait deviner avec quoi ils avaient été aromatisés (des produits mal connus). Retour sur le point de départ (le préau de l'ancienne école de Villers-Chief) par la grande montée, environ 1.000 mètres avec un dénivelé de 280 mètres. Dur dur pour les mollets ! Les quads chargés de la sécurité des marcheurs n'ont pas eu à intervenir. Et à l'arrivée un délicieux dessert et café apportaient le réconfort final.

Toutes et tous ont pu féliciter les organisateurs tant pour la qualité de l'accueil, la régularité des départs des groupes, la qualité des stands de restauration, la sécurité tout au long du parcours.

Les badges que chaque marcheur avait autour du cou ont été récupérés afin de déterminer le vainqueur du tirage au sort.

Une très belle journée qui aura permis de faire de nouvelles connaissances. Certains marcheurs venaient d'ailleurs.

Félicitations aux organisateurs et aux 50 bénévoles et encore merci.

Photos Jean-Jacques Compagnon

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Le verre qu'il ne fallait pas perdre

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L'arrêt rafraichissement et le Jeu du Goût vers le Moulin de Creuse

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Fabienne, Julie et Marine les 3 cousines