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01/05/2020

Où est passée la sépulture de Tadeusz KACZMAREK

Modifié le 01 mai 2020 : La perspicacité des uns, la ténacité des autres ainsi qu'une volonté commune d'arriver à un résultat de recherches nous ont permis de vous annoncer que la sépulture de Tadeusz KACZMAREK vient d'être formellement localisée non pas au cimetière de Domprel mais dans une tombe regroupant 56 soldats polonais tombés au champ d'honneur dans toute la région. Le monument des Polonais comme l'appellent les gens de DAMPRICHARD. 50kms entre Domprel et Damprichard.

A la demande des autorités cette commune avait accepté le transfert des dépouilles polonaises. Tadeusz KACZMAREK, mort et enterré à Domprel le 19 juin 1940a été exhumé en début 1970 (ce qui correspond à la dernière vision de sa tombe) pour rejoindre ses compatriotes au cimetière de DAMPRICHARD.

D'autres informations vous parviendrons ultérieurement

Honneur à nos héros.

Merci à Antoine de Paris, à Alain généalogiste et au Souvenir Français de m'avoir soutenu en participant aux différentes recherches.

Photo Jean Bouquin CLP du secteur

Monument Polonais Damprichard (2) (Medium) (Personnalisé).JPG

La stèle en mémoire des soldats polonais

le nom KACZMAREK figure en 9e position en partant du bas bandeau de gauche

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Modifié le 15 avril 2020 : Les seuls documents en notre possession sont : l'acte de décès du soldat polonais (18 juin 1940) établit par le maire du village en début juillet 1940, un papier polonais (traduit en français) qui prouve que ce soldat est bien mort à Domprel et enterré au cimentière du village et un courrier de novembre 1958 du maire de Domprel envers le ministère qui certifie que la sépulture est bien en place et parfaitement bien entretenue. Le dernier souvenir des uns et des autres sur la vision de cette tombe (la croix avec le casque posé dessus) remonte à 1969/1970. Cette tombe a du être rasée. Quand au casque il a du être prélevé pour enrichir une collection personnelle ou alors enseveli dans la sépulture. Sa découverte nous apprendrait beaucoup.

Avec l'accord des municipalités (Domprel et Grandfontaine-sur-Creuse) le Souvenir Français va rénover le monument aux morts et les municipalités vont apposer une plaque en mémoire de ce héros polonais "Mort pour la France". Mais nous devons retrouver cette sépulture rasée.

Photos Jean-Jacques Compagnon

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C'est dans le secteur de cette tombe isolée que la sépulture du soldat polonais devrait se trouver

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Monument aux morts intercommunal

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17/18 juin 1940. Les batailles faisaient rage dans tous le secteur aux portes du Haut Doubs : Pierrefontaine-les-Varans, Villers-Chief, Aissey, Fuans, Ouvans ... bizarrement le secteur de Domprel semblait épargné !

C'est pourquoi un soldat polonais Tadeusz Kaczmarek né le21octobre 1921 1re classe du centre des militaires polonais de Bressuire blessé très grièvement à Ouvans a été rapatrié par ses camarades à Domprel chez un agriculteur le 18 juin 1940. Malheureusement après l’extrême onction par l'abbé Saillard il devait décéder dans la nuit. Il a été enterré au cimetière du village et les anciens se rappellent de la croix qui supportait son casque. Brusquement le corps a été exhumé et parti pour un lieu inconnu (environ 15 ans après). En ce moment il n'y a aucune trace dans les archives si ce n'est le certificat de décès établi le 4 juillet 1940. Les deux nécropoles de Besançon et Rougemont ne connaissent pas ce soldat polonais.

Il semblerait donc que ce soldat polonais appartenait à un bataillon de la légion étrangère venant de Bressuire. Le bureau des anciens de la légion vient d'être contacté.

Je fais le relais pour essayer de récolter des informations sur cette sépulture déplacée et introuvable. Alors si vous avez des renseignements pouvant nous aider n'hésitez pas à me contacter par commentaire sur ce blog. Ensemble pensons à la famille polonaise qui recherche cette sépulture.

 

 

 

 

06/10/2016

73e anniversaire des 16 fusillés de la Citadelle

Une cérémonie qui se détourne vers les résistants de Larnod. Une grossière erreur téléguidée pour ne parler que du groupe Guy Mocquet et en occultant donc le groupe Marius Vallet.

Vous pouvez voir les différentes notes au sujet des fusillés de la Citadelle le 26 septembre 1943 ainsi que le copié/collé d'un article que la rédaction du journal me refuse car en réponse à ma réclamation on m'a répondu que je ne pouvais pas être "juge et partie"

Article ER du 27/09/2016 dont le titre n'a rien à voir avec le 73e anniversaire des 16 fusillés

 

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C'est ce titre qui a déclenché ma colère

Contre article ER JJ C dont la parution a été refusée

Besançon Le souvenir des 16 fusillés de la Citadelle

 

Le 26 septembre 1943 16 résistants ont été fusillés à la Citadelle, 4 du groupe Marius Vallet et 12 du groupe Guy Mocquet. La veille le tribunal militaire des forces d'occupation avait prononcé 17 condamnations à mort et 4 déportations. Le 17 e condamné à mort André Montavon d'origine suisse a été échangé contre 2 militaires des forces d'occupation qui étaient emprisonnés en Suisse. Il sera libéré après une année de captivité en Allemagne. Lors de la cérémonie de la libération de Besançon le 8 septembre à la Citadelle un hommage est rendu aux 16 fusillés. Chaque dernier dimanche de septembre une importante cérémonie avait lieu à la stèle du Rocher de Valmy. Depuis trois ans en raison de la difficulté d'accès au rocher la cérémonie est déplacée sur l'esplanade du village. La veille un dépôt de gerbe a lieu en comité restreint à la stèle. Ordonnancée par un même personnage, responsable de l'amicale, cette cérémonie a exclu les membres des familles du groupe Marius Vallet qui, cette année encore, n'ont pas reçu d'invitations officielles. Le groupe Marius Vallet ne doit, en aucun cas, être dissocié du groupe Guy Mocquet. En 2013 une stèle voulue par l'amicale du groupe Guy Mocquet, financée par les pouvoirs publics, portant les 31 noms des membres du groupe et excluant le groupe Marius Vallet, a été inaugurée en grande pompe. Depuis cette date il semble bien qu'elle ne fait plus l'unanimité. Les deux groupes œuvraient ensemble et les réunions clandestines étaient organisées à Larnod ou à Chouzelot. Cette commémoration, que nous venons de connaitre en ce dimanche 25 septembre, ne doit plus être unitaire pour le groupe Guy Mocquet mais doit s'intituler "Commémoration des 16 fusillés du 26 septembre 1943". Sur la stèle du rocher de Valmy 20 noms sont gravés : les 16 résistants fusillés du 26 septembre 1943 et les 4 résistants morts en déportation, tous appartenant aux groupes Marius Vallet et Guy Mocquet.

 

Article JJ C que j'ai fait paraitre le jour anniversaire sur la commune de Chouzelot.

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Jean Compagnon, mon oncle de Chouzelot, l'un des 16 fusillés de la Citadelle. Groupe Marius Vallet

 

Je vous laisse le soin d'analyser ces écrits. Vous pouvez bien entendu que contacter pour en parler.

N'ayant pas été invité officiellement j'ai , le dimanche 25 au matin, déposé un coussin avec le ruban tricolore au non des familles Trabado/Compagnon à la stèle du Rocher de Valmy. J'étais seul. Saturnino Trabado a été un des 16 fusillés du 26 septembre 1943. Groupe Marius Vallet (voir dans les notes précédentes).

25 Septembre 2016

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La stèle du Rocher de Valmy

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Famille Trabado/Compagnon

 

 

 

 

 

09/09/2015

Mercè et Nùria TRABADO invitées à la commémoration du 71e anniversaire de la libération de Besançon

Mercè et Nùria Trabado étaient venues en février pour un voyage mémoire sur le parcours de leur grand-père Saturnino Trabado résistant et membre du groupe Marius Vallet fusillé à la Citadelle le 26 septembre 1943 (voir les notes des 08 et 19 février 2015).

Jean-Louis Fousseret maire de Besançon avait tellement été ému de leur voyage mémoire qu'il les a invitées officiellement  au 71e anniversaire de la libération de Besançon le 8 septembre 1944.

Mercé et Nuria Trabado accompagnées de leurs enfants (Oriol, Alba et Nùria) sont venues tout spécialement de Barcelone pour participer à cette commémoration du 8 septembre.

Le lundi 7 septembre la famille Trabado a refait le parcours fait en février (Rocher de Valmy, visite des anciens entrepôts Carmille à Larnod, visite des villages de Cessey et Goux-sous-Landet où Saturnino avait séjourné en 1942 et 1943 avec rencontre des anciens qui avaient connu leur grand-père).

Mardi après midi elles se sont rendu à la Citadelle de Besançon pour revisiter le musée de la résistance et de la déportation en attendant 19 h le début de la cérémonie.

La famille Trabado a été reçue par Jean-Louis Fousseret maire de Besançon et installée dans la tribune officielle.

Quel moment d'émotion quand le maire a cité dans son discours la présence de cette famille.

J'ai eu l'honneur d'être à leurs cotés.

Cette cérémonie sobre a rappelé le sacrifice de ceux qui ont combattu pour la liberté du territoire. Beaucoup ont payé de leur vie.

Toutes et tous ont pu côtoyer avec respect  Robert Delacroix, un porte drapeau, qui fêtait ce jour son 101e anniversaire.  

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Au centre du 1er rang la famille Trabado

 

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C'est là que leur grand-père et arrière-grand-père est tombé sous les balles ennemies

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Honneur et respect

Robert Delacroix fête ici son 101e anniversaire

 

Merci à Aurélie, Cécile et Marcel

19/02/2015

72 ans après Mercè et Nuria Trabado ont effectué un voyage mémoire sur les traces de leur grand-père Saturnino

Mercè 51 ans  et Nuria Trabado 46 ans sont venues tout spécialement de Barcelone pour connaitre le parcours de leur grand-père Saturnino résistant du groupe Marius Vallet fusillé le 26 septembre 1943 à la citadelle de Besançon.

Elles ne savaient que peu de chose : qu'il avait été embauché dans l'entreprise Carmille à Larnod et qu'il avait été fusillé avec 15 autres camarades dont mon oncle Jean Compagnon qui appartenait au même groupe. Elles ne savaient même pas où il était enterré.

Je les ai accueillies à la sortie de l'autoroute dans la nuit du samedi 14 au dimanche 15 février. Je les ai guidées pendant les journées de dimanche et lundi.

Que d'émotion quand elles ont découvert là où il est enterré au cimetière militaire de Besançon Saint Claude. Elles ont déposé un modeste bouquet de fleurs et accroché à la croix la photo de son mariage.

L'après midi nous avons été reçus officiellement au musée de la résistance et de la déportation par Marie-Claire Ruet conservatrice du musée, François Marcot historien co-fondateur avec Denise Lorack de ce musée, Cécile Vast attachée au musée. C'est avec les larmes aux yeux qu'elles ont déposé un gerbe avec Jean-Louis Fousseret maire de Besançon devant les 4 poteaux d'exécution.

Le lundi dans le brouillard matinal qui montait depuis la vallée du Doubs elles se sont recueilles devant le monument du rocher de Valmy. Sur ce monument sont inscrits les noms de 20 martyres des groupes Marius Vallet et Guy Mocquet. 16 ont été fusillés dont Saturnino Trabado. Les 4 autres ont été internés et n'en sont jamais revenus. Là dans un silence total elles ont entendu Claire Martin qui a interprété le chant des Partisans et l'Estaca (chant républicain Catalan). Après avec une petite-fille Carmille elles ont pu voir les anciens bâtiments de l'entreprise où leur grand-père travaillait et la maison où se tenait les réunions clandestines.

Dans l'après midi je les ai conduites à Cessey (mon village natal) où Mercè et Nuria ont découvert la plaque souvenir en la mémoire de leur grand-père qui était basé dans ce village pendant ses activités de résistance. Le maire du village les a reçu chaleureusement en mairie. Encore un grand moment d'émotion lors de la visite chez l'ancien maire qui a très bien connu Saturnino. Il leur a expliqué grâce à sa grande mémoire toutes les activités de la résistance sur le secteur. Elles ont pu voir la maison où leur grand-père se cachait. Sur le chemin du retour à Besançon nous sommes passé par Goux-sous-Landet, village à quelques kilomètres de Cessey, où Saturnino a résidé officiellement mais brièvement.

Elles reviendront dans l'intimité familiale cet été pour faire vivre à leurs enfants cette mémoire.

J'ai eu l'honneur le très grand honneur de préparer leur venue, de les recevoir et de les guider sur ces deux journées.

Je voudrais remercier toutes les autorités qui nous ont reçus ainsi que toutes celles et ceux qui m'ont aidé, épaulé dans cette préparation et qui m'ont accompagné durant ces deux journées notamment Marcel Simon et Jean-Jacques Clausse tous deux membres de famille de fusillés (Marcel Simon et Marcel Reddet).

Maintenant Mercè et Nuria connaissent le parcours de leur grand-père et savent où il repose.

Photos Jean-Jacques Compagnon

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Cimetière Besançon Saint Claude

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Au musée de la résistance et de la déportation

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Recueillement devant les poteaux d'exécution à la citadelle

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Emotion partagée avec Jean-Louis Fousseret maire de Besançon

(photo Nicolas Barreau Est Républicain)

 

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Rocher de Valmy

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Plaque souvenir à Cessey

27/09/2013

70e anniversaire des 16 fusillés à la Citadelle de Besançon

Jean Compagnon.jpg26 septembre 1943 à 7 h 36, 7 h 56, 8 h 10 et 8 h 25. 

16 résistants (12 du groupe Guy Mocquet et 4 du groupe Marius Vallet) tombaient sous les balles du peloton d'exécution de l'armée d'occupation. Ils ont payé de leur vie pour avoir défendu leur patrie, notre patrie. Parmi eux mon oncle Jean Compagnon, il allait avoir 22 ans. Le plus jeune Henri Fertet du groupe Guy Mocquet avait 16 ans et le plus âgé Paul Paqueriaud du groupe Marius Vallet avait 35 ans. Le 17e condamné à mort, le suisse André Montavon qui coordonnait les actions des 2 groupes, a été extrait au moment de monter dans le camion allemand. Il venait, à la suite de pourparlers diplomatiques, d'être échangé contre un prisonnier allemand en Suisse. 

Cette année a été donc le 70e anniversaire de leurs morts. Ils sont morts en héros. Tous ont refusé d'avoir les yeux bandés et ont crié Vive la France.

Tous ont écrit à leur famille dès l'annonce de leur exécution vers 5 h. Des lettres émouvantes. Jean Compagnon a dit à ses parents " Je meurs avec l'espoir que mes idées resteront personnifiées et que vous aurez le courage nécessaire de les suivre jusqu'au bout ".

Dimanche 22 une émouvante cérémonie a eu lieu au Rocher de Valmy dans les hauteurs de Larnod. Sur le monument sont inscrits les 20 noms de ceux qui ont fait partie des groupes Guy Mocquet et Marius Vallet. 16 d'entre eux ont donc été fusillés et les 4 autres ont été emprisonnés ou internés.

Un peu plus tard une stèle a été dévoilée place du Souvenir à Larnod tout à coté du monument aux morts. Cette stèle, voulue par l'amicale en souvenir du groupe Guy Mocquet et financée notamment par la commune et le conseil général, ne comporte que les 31 noms des membres du groupe Guy Mocquet dont le nom du seul survivant actuel (a t'on le droit moral de faire figurer un vivant sur une stèle en l'honneur des héros qui y ont laissé leur vie).

En ce jeudi 26 septembre 2013 une autre cérémonie a eu lieu à la Citadelle de Besançon sur les lieux même des exécutions au pied des 4 poteaux en présence des drapeaux, des anciens combattants, des autorités civiles et militaires, des élèves des lycée et collège Henri Fertet de Gray et Sancey-le-Grand avec leur professeur, d'un nombreux public.

J'étais bien sûr présent à ces cérémonies. Dans tous les discours que j'ai pu entendre seuls Claude Jeannerot président du conseil général (à Larnod) et Jean-Louis Fousseret maire de Besançon (à la Citadelle) n'ont pas oublier d'évoquer le souvenir des membres du groupe Marius Vallet. Tous les autres orateurs n'ont loué que le groupe Guy Mocquet. J'ai même vu certains articles qui disaient " Les 16 fusillés appartenaient au groupe Guy Mocquet ". Ce qui est faut évidemment et donc je m'élève sur ces propos. J'ai même pu remarquer que les invitations ont été envoyées uniquement aux autorités et aux familles des membres du groupe Guy Mocquet. Pour avoir accès sur les lieux de la cérémonie du 26 à La Citadelle, moi neveu de Jean Compagnon du groupe Marius Vallet, il m'aura fallu envoyer des mails et appeler au téléphone pour trouver le bon interlocuteur. Finalement le responsable de l'envoi des invitations m'a donné une invitation verbale et il a été, par ailleurs, stupéfait de cet état de fait.

Je vais œuvrer pour retrouver toutes les familles des membres du groupe Marius Vallet mais ça sera fastidieux car il n'existe plus rien ou pas grand chose sur ce groupe. Et peut être verrons nous un jour une stèle portant tous leurs noms côtoyer  celle du groupe Guy Mocquet.

Je tiens à remercier le responsable de la mairie de Besançon, le proviseur du lycée Henri Fertet à Gray et Frédérique de la Citadelle de Besançon qui m'ont aidé dans ma démarche pour rentrer à La Citadelle. Bien évidemment j'aurais, au pire des cas, payé mon entrée (9,50 €).

Je lance un appel à toutes les personnes qui auraient des renseignements sur le groupe Marius Vallet notamment les noms des membres afin que je puisse retrouver les familles.  

Myriam Fertet-Boudriot, dernière survivante de la famille et nièce de Henri Fertet, a fait don au musée de la Résistance des précieux souvenirs de son oncle dont une statuette modelée dans de la mie de pain.

N'oublions pas non plus que ce sont 100 résistants qui ont été exécutés ou assassinés pendant toute ces périodes de résistance contre l'occupation ennemie. Marius Vallet a été fusillé à la Citadelle le 28 avril 1941.

Photos Jean-Jacques Compagnon

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Le Rocher de Valmy

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Il y a 70 ans 16 résistants étaient fusillés ici

 

 modifié le 10 octobre 2013 : dès la fin septembre j'ai envoyé un courrier par mail à Gisèle Ardiet maire de Larnod pour faire part de mon désappointement, avec copie à Claude Jeannerot président du conseil général et Barbara Romagnan députée du Doubs. A ce jour seule Barbara Romagnan m'a aimablement répondu et me soutient dans mes idées.